Lever assez tôt, pas faché d'ailleurs... Boris a trouvé le sol trop dur et moi je me suis tellement caillé que ça m'a empêchée de dormir. On veux être au parc le plus tôt possible, chopper la navette, descendre au terminus et rentrer à pieds sur toute la journée en passant par quelques endroits qu'on espère très chouettes!!!
On grimpe dans le minibus avec toute une famille et s'est parti! Collé à la fenêtre on regarde la forêt noyée où nous étions la veille, puis nous rentrons dans une forêt dense. Premier arrêt! Le chauffeur lance un "arrêt cagou". La cagou c'est l'oiseau emblématique du parc, c'est un espèce protégée et endémique bien sur.
Alors que je m'aventure un peu au couvert, un gars du parc fait des bruits bizarres pour appeler les cagous! Que ce soit ça où les vers qu'ils a dans sa boîte mais les cagous émergent petits à petits!
Ces oiseaux sont capables de rester parfaitement immobiles, ils sont très gracieux. Ils ont une petite houppette sur la tête et des ailes rayées noir et blanches quand ils les ouvrent pour intimidation ou parade nuptiale. Certains sont bagués car ils ont subis des prises de sang et sont comptés. En 2008 date je crois du dernier recensement, le parc abritait 700 spécimens soit un peu près la moitié de la population totale de cet espèce.
Nous remontons dans le bus et c'est parti pour le terminus! Nous arrivons au fin fond du parc et descendons de la navette pour une journée de marche. La rivière que nous apercevons nous fait de l’œil et nous descendons la voir de plus près.
Au passage nous admirons de multiples plantes carnivores au bord du chemin.
Du lichen, des fougères et une autre espèce de plantes carnivores aérienne celle là.
Nous quittons le sentier et rejoignons le pont germain près duquel nous mangeons. Puis nous suivons la piste pour rejoindre un petit chemin éducatif très sympa qui serpente au milieu de la forêt humide, en passant devant le grand houp.
Ci dessus une perruche huppée que j'ai réussi à prendre! En dessous le grand houp.
Et pour finir en rentrant la forêt noyée pas noyée à cette époque de l'année trop sèche!
Après 18 km de marche on était un peu fatigués mais contents!
Cécile
Alors que je m'aventure un peu au couvert, un gars du parc fait des bruits bizarres pour appeler les cagous! Que ce soit ça où les vers qu'ils a dans sa boîte mais les cagous émergent petits à petits!
Ces oiseaux sont capables de rester parfaitement immobiles, ils sont très gracieux. Ils ont une petite houppette sur la tête et des ailes rayées noir et blanches quand ils les ouvrent pour intimidation ou parade nuptiale. Certains sont bagués car ils ont subis des prises de sang et sont comptés. En 2008 date je crois du dernier recensement, le parc abritait 700 spécimens soit un peu près la moitié de la population totale de cet espèce.
Nous remontons dans le bus et c'est parti pour le terminus! Nous arrivons au fin fond du parc et descendons de la navette pour une journée de marche. La rivière que nous apercevons nous fait de l’œil et nous descendons la voir de plus près.
Au passage nous admirons de multiples plantes carnivores au bord du chemin.
Ci-dessus une pierre pétroglyphe, marque de la très ancienne occupation du site. Elle se trouve au bord de la rivière bleue. Après avoir bien gambadé au bord de l'eau nous prenons de la hauteur et empruntons le sentier de la source (qui devait être tarie vu la saison très sèche et qu'on l'a loupé). Pendant une petite heure nous marchons en recherchons un phasme, nous n'arrivons pas a en voir un hélas, mais nous verrons d'autres plantes et animaux sympas! En dessous une lunette ou un rossignol, l'un est plus gris et l'autre plus vert dans le dos... On sait qu'on a vu les deux, je dirais que celui ci est plus un rossignol!
Du lichen, des fougères et une autre espèce de plantes carnivores aérienne celle là.
Nous quittons le sentier et rejoignons le pont germain près duquel nous mangeons. Puis nous suivons la piste pour rejoindre un petit chemin éducatif très sympa qui serpente au milieu de la forêt humide, en passant devant le grand houp.
Ci dessus une perruche huppée que j'ai réussi à prendre! En dessous le grand houp.
Et pour finir en rentrant la forêt noyée pas noyée à cette époque de l'année trop sèche!
Après 18 km de marche on était un peu fatigués mais contents!
Cécile
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